mardi 22 septembre 2009

Mickey Mousse

Je sais.

Ahah, y'a pas à dire, je ne me lasse pas de ces jeux de mots complètement cryptiques que personne ne comprend, ou du moins pas avant d'avoir lu le post entier. Et encore. Bref, que d'aventures mes amis ce week-end ! Du fun, de voyage, des situations embarrassantes, du spectacle, du censuré (ça doit être les burgers), des bretzels, et de la bière. Des masses, même que. Huhu.

Donc, récapitulons, comme en 1940. Et oui, les accents, c'est important en français. Vendredi soir, séance spéciale Disney au Rocky Horror. Nous avions donc une Ursula, un Jafar avec une Jasmine tatouée sur le bras, un Scar, une Clochette, un Tarzan, une Aurore, un Prince Charmant, une Blanche-Neige, et bien évidemment un Mickey (moche). Autant dire que c'était gentiment n'importe quoi, avec des blagues agréablement renouvelées, quelques plantages inévitables, beaucoup de fous rires parce que le ridicule ne tue certes pas, mais développe les zygomatiques, et dans l'ensemble une très bonne ambiance.

En même temps j'avais prévenu que c'était n'importe quoi.

Après 2h30 de sommeil, on se botte le cul et on part à Roissy, pour ensuite s'envoler à Munich, histoire d'aller visiter Gallou (ex-coloc de ma 2ème année à Nantes, pour ceux qui ne suivent pas) en ce premier week-end de la fête de la bière, l'Oktoberfest. L'aventure nous attend, le rinçage d'yeux et de gosier aussi.

Donc samedi, journée tranquille à zoner dans Munich, mais un peu en naviguant de bars en bars quand même. L'occasion de se rendre compte que voyager dans un pays dont on ne connaît pas la langue, ça donne une impression de déjà-vu. Même si là je comprends vaguement l'écrit, malgré leurs tentatives de franponais (ou la même mais avec de l'allemand) pour me faire retrouver mes marques. On se couche pas trop tard quand même, parce que le lendemain il faut se lever tôt.

Dimanche donc lever à 6h30. Ouch. En fait, il faut arriver tôt dans les tentes de l'Oktoberfest, pour être sûrs d'être assis, parce que si t'es pas assis, tu peux pas boire. Donc inévitablement, tu te retrouves à 8h du mat' debout devant une tente, juste pour pouvoir être assis et pas être venu pour rien. A midi, à cause d'une conne de serveuse, tu te fais virer alors que t'as rien fait, et donc tu décides de faire une sieste chez toi, et de finir la journée traaaaanquiiiiiillemeeeeent (non, j'ai pas attrapé l'accent suisse).

Et dans un grand souci de logique, une fois que t'es assis, tu passes ta journée debout sur les bancs.

Lundi, journée tourisme. On aurait bien aimé aller visiter Dachau, mais malheureusement, c'était fermé le lundi, donc balade dans le centre-ville, sieste dans le Englischer Garten, un très très très grand parc avec des surfers et des nudistes - non, sans rire - avant de se rentrer, faire les paquets et repartir direction la France.

Vous avez les photos en galerie, le week-end était bon, et moi je suis naze. En plus EDF m'a envoyé bouler. Donc a ciao bon dimanche. Ou mardi. Finissons par quelques photos débiles.

En sortant de l'aéroport. Si tu penses qu'il va faire caca sur la décapotable, bravo, tu as l'esprit mal placé.

L'Oktoberfest, ça se fait seul, parce qu' "avec l'alcool, t'as plus rien dans le pantalon".

Le costume bavarois masculin typique, le lederhose.

La version féminine, le dirndl. Sur cette photo se sont cachées combien de bonnes raisons d'aller en Bavière, selon vous ?

dimanche 13 septembre 2009

C'est la crise, alors ceinture !

Ceci n'est pas un appel à l'aide.

Quoi de bien nouveau en ces deux dernières semaines ? Hum, réfléchissons... une réponse négative à une offre, de la prospection qui ne débouche sur rien, des bières avec des gens, une aprèm avec mes ex-collègues du Japon, les Julien, Jérémy, Antoine, Sandra et (c'est) tout.

Et là, hier, dans la lignée des entrepôts de Pantin, balade avec le même Jérôme sur un tronçon de la Petite Ceinture, qui est pour ceux qui ne savaient pas et ont la flemme de lire Wikipédia une ancienne ligne circulaire de chemins de fer dans Paris, construite vers 1850-1860 et visant à relier les différentes gares principales entre elles. Désaffectée en 1934, certains tronçons, toute la partie ouest notamment, ont été déferrés, les autres restant simplement à l'abandon. L'occasion de se balader dans une nature verdoyante avec un côté post-apocalyptique fort sympa (oui, j'adore quand la nature reprend ses droits sur les bâtiments) et de délirer un brin.

Au passage, je me rends compte de la nullité abyssale de ce jeu de mot. Et malheureusement, je n'en ai même pas honte. Dur. Bref donc, une aprèm sous le soleil à se balader peinards, prendre plein de photos sympa malgré une nette tendance à la surexposition, et délirer, aussi. Je le redis, parce que c'est important. Et pour finir, un bon gros nanar des familles bien burné, parce que y'a pas de raison.

Pas grand-chose de phénoménal à part ça. Les histoires d'appart devraient commencer à se préciser, à défaut d'autre chose, possiblement une grosse update la semaine prochaine, et je suis plus que jamais en mesure de vérifier la justesse de l'adage "moins on se fatigue et plus on est fatigué". *yawn*

Bon, c'est pas tout ça, mais balançons quelques habituels liens de fin de post. Un truc pour se foutre de l'accent pourri de nos amis d'Inde (et pas dindes), plus en cadeau un deuxième qui nous montre des fantasmes originaux (et indiens), un moment de solitude, un parce que les enfants des fois c'est drôle, un autre parce que les enfants qui ont mal ça l'est encore plus, et un dernier de mauvais goût certes, mais fruité.

Non, y'a pas de pièges.